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Rémi

Percussionniste au sein des différents orchestres dirigés par Maurice Buaz depuis 2007 / Concepteur du site MAURICEBUAZ.COM / Webmaster.

Entretien avec Maurice Buaz

By Interviews, L'Âge d'Or des Carpentier

Les 14 et 15 Octobre prochains, Maurice Buaz nous invite à L’Âge d’Or des Carpentier, célèbre couple de producteurs qui ont enchanté les samedis de la télévision pendant les années 70/80. Dans les lignes qui suivent il nous dévoile un peu plus les dessous de ce spectacle, qui, n’en doutons pas, saura vous faire passer un moment plus qu’agréable.

Nous l’avons rencontré en pleine préparation au cours d’une répétition, avec toute la troupe.

Maurice, quelles sont les raisons qui t’ont poussé à écrire ce spectacle ?

MB : Elles sont nombreuses.

Dans un premier temps, j’ai déjà expliqué à ceux qui suivent de près les activités de l’association que ce spectacle était avant tout, un clin d’œil au temps qui passe. Il est composé des chansons populaires d’un autre temps, même si ces chansons sont encore longuement diffusées sur les ondes radio et dans tous les médias. Johnny, Sylvie, Sardou, Mitchell, Dassin, Fugain… sont des incontournables qu’on entendra encore longtemps. Et je suis intrigué par le fait que ces chansons qui défilent tout au long du programme de L’Âge d’Or des Carpentier, et qui ont plus de 40 ans, sont encore d’une étonnante jeunesse. Lorsque j’étais gosse, je ne me souviens pas avoir entendu les rengaines des chansonniers du début du XXème siècle. Certes, les deux guerres y sont pour quelque chose, mais pour moi, rien n’est plus évident que les années 60 qui ont été marquées par une révolution, sans vilain jeu de mots ! La musique était-elle meilleure en ce temps-là ?  Les modes qui ont suivi ont-elles détruit définitivement l’aspect mélodique de la variété française ? Pour un musicien qui, comme moi, vient de la musique classique, il est évident que tout ce que je peux entendre aujourd’hui ne satisfait plus, et loin s’en faut, mon goût musical. Sans vouloir tomber dans la nostalgie ou le pathos, j’avais envie, encore une fois, de travailler sur les « mélodies carrées » que j’ai pu connaître adolescent. Il est aussi évident que pour arranger les rengaines d’aujourd’hui, je n’aurais nul besoin de 25 musiciens au plateau (rires).

Un hommage à ma mère.

D’autre part, cet hommage aux Carpentier est aussi un hommage à ma mère qui fredonnait ces mélodies en préparant le repas ou en repassant le soir, près du poste transistor. Et c’est enfin un hommage à ceux, et à celles, qui les chantaient, disparus depuis. Je n’ose faire le compte de ceux qui sont encore parmi nous. Ce sont ces choses simples, que j’ai voulu faire revivre, pour un soir, une petite parenthèse volée au temps qui passe à pas de géant.

Sans dévoiler le contenu du spectacle, aurais-tu quelques mots sur la mise en scène ?

 MB : En fait, c’est un spectacle assez lourd, qui a demandé un investissement total de la part de la petite équipe qui s’en est occupée. Je pense notamment aux costumes et décors, qui ont été pour nous un souci permanent, et qui ont coûté au final quelques milliers d’euros, même si nous avons utilisé abondamment les réseaux sociaux et les bonnes affaires. La vidéo est enfin prête. La création des images enregistrées nous a pris beaucoup de temps, notamment pour la retouche des images d’archives. Nous diffuserons en 4:3, qui était le format de l’époque. Pour ce faire, nous aurons donc besoin d’une dizaine de caméras afin de diffuser le direct. Quant à l’espace chorégraphique, là encore, nous avons essayé de respecter (sans les copier) les chorégraphies de l’époque. En résumé, les 24 titres ou medleys utilisés pour le spectacle sont tous illustrés et /ou chorégraphiés.

50 artistes, c’est beaucoup, non ?

MB : Oui, d’autant plus que nous avons des musiciens, des danseuses, des acteurs, avec autant de diversité que de complémentarité. Nous avons compartimenté les répétitions, l’orchestre seul, la chorégraphie d’un côté, la mise en scène de l’autre. Au final, nous n’avons eu que 3 répétitions plénières, 4 en comptant la générale de la veille, mais là, les carottes seront déjà cuites !

Enfin, je voulais dire un immense merci à nos partenaires privés, puisque nous ne sommes pas soutenus par les Collectivités, et à tous ceux et toutes celles, bénévoles, qui nous ont grandement aidé. Je ne sais pas si j’aurai l’occasion de le faire à la fin du spectacle, la mise en scène ne le prévoit pas, et je voulais le faire par l’intermédiaire de cet article.

Aux 14 et 15 Octobre prochains je l’espère !

Rencontre avec Antoine Angelloz-Nicoud

By Interviews, L'Âge d'Or des Carpentier

A moins d’un mois de la première du nouveau spectacle L’Âge d’Or des Carpentier, de Maurice Buaz, faisons la connaissance d’Antoine Angelloz-Nicoud, qui rejoint le spectacle pour interpréter notamment Mike Brant, Eddy Mitchell, Julien Clerc, ou encore Johnny… Rencontre avec un jeune artiste aux multiples talents.

Bonjour Antoine ! Tu viens compléter le trio de voix masculines pour le prochain spectacle de Maurice Buaz, L’Âge d’Or des Carpentier, aux côtés de Didier Rieux et Olivier Debauge… Que dirais-tu pour te présenter ?

AAN : Bonjour Rémi ! Je suis Antoine Angelloz-Nicoud, dit Tatane, 27 ans, musicien et chanteur dans différents projets musicaux.
C’est une introduction courte et efficace ! Mais je suis curieux ! Peux-tu nous en dire un peu plus ? Nous expliquer ton parcours artistique ?
AAN : Je chante depuis tout petit, mais c’est réellement quand j’ai commencé à jouer de la guitare à 15 ans que j’ai commencé à travailler ma voix, ce qui m’a amené au lycée Charles Baudelaire à Annecy (où j’ai pu vivre des années bac à sable artistique phénoménal). C’est là que j’ai décidé d’en faire mon métier. Suite à ça, je suis rentré au Conservatoire de Grenoble en musique actuelle (département coordonné par le compositeur Karim Maurice) duquel je suis sorti avec mon DEM de chant en 2021. Depuis, je suis intermittent du spectacle et joue dans divers projet : Another Kind of Magic, tribute Queen, entièrement a cappella ; SMASH! – Groupe d’animation musicale, formation rock pour festivités en tous genres ; Dr. Skelter, groupe de rock des années 60/70… Je suis aussi « manager » du groupe MIDI 51 ainsi que président de l’association La POTO qui œuvre pour la programmation de la culture en milieu rural.
Comment as-tu rejoint le casting de L’Âge d’Or des Carpentier ?
AAN : J’ai entendu, par le biais de Laëtitia Hulewicz, avec qui j’étais au Conservatoire, que Maurice Buaz recherchait un chanteur pour compléter son effectif. La variété française n’étant pas mon élément, ni ce que je fais le plus, j’ai voulu relever le challenge !
L’univers des Carpentier est à mille lieux de ce que l’on connait de toi dans Another Kind Of Magic, l’hommage à Queen que tu as évoqué, et auquel tu participes depuis quelques années. Parle-nous de cette expérience incroyable…
AAN : En effet, incroyable c’est le mot !
Je suis vraiment fier de faire partie de ce projet et de le jouer dans des lieux qui me paraissaient jusqu’alors démesurés. Le spectacle Another Kind of Magic, mis en scène par Etienne de Balasy, retrace l’histoire du groupe Queen par le témoignage sur grand écran d’un fan de la première heure. Leurs morceaux fédérateurs chantés a cappella rendent le spectacle encore plus vibrant et communicatif. Ce spectacle nous a donné l’opportunité de jouer à Montreux, au Freddie Celebration Days pour l’anniversaire de Freddie Mercury en 2022, puis peu après dans l’émission Bel et Bien sur France 2. Quelle sera la prochaine surprise ?
Un grand orchestre, des duos, des trios, de la mise en scène… Le spectacle, qui doit recréer l’atmosphère des Carpentier sur scène, promet d’être une grosse machinerie. Comment appréhendes-tu cela ?
AAN : C’est vrai que la première fois, on est bien décoiffé par tout ce monde ! L’énergie envoyée par un orchestre pareil, ça impressionne toujours ! Mais bon, après je prends mes marques, et je suis l’ambiance, qui je dois dire reste bon enfant et permet d’appréhender le travail dans la bonne humeur !

Le spectacle est dans maintenant moins d’un mois… qu’as-tu envie de dire à ceux qui nous lisent pour qu’ils viennent le voir ?

AAN : Quand on voit le travail mis bout à bout des danseuses, figurants, comédiens, orchestre, décor, costumes et autre… on voit véritablement que ce spectacle plongera ceux qui ont connu cette époque dans une douce nostalgie et les autres dans une ambiance comme on n’en fait plus ! Alors pas d’hésitation !

Merci Antoine pour ton temps et ta gentillesse… Rendez-vous dans moins d’un mois, les 14 et 15 octobre sur la scène de Baptiste Dufeu, à Péage de Roussillon !

Rencontre avec Laëtitia Hulewicz

By Interviews, L'Âge d'Or des Carpentier

Laëtitia est la dernière voix féminine ayant rejoint Maurice Buaz pour les besoins de son nouveau spectacle L’Âge d’Or des Carpentier. Aux côtés de Sophie Garcia et de Véronique Larose, qu’on ne présente plus, cette jeune chanteuse de Boulieu-lès-Annonay, interprétera notamment des chansons du répertoire de Nicole Croisille, Michel Fugain, ou encore Agnetha du très célèbre groupe ABBA. Rencontre avec une artiste au talent immense…

Bonjour Laëtitia ! Tu rejoins le casting de L’Âge d’Or des Carpentier, la nouvelle création de Maurice Buaz. Comment cela s’est passé ?

LH : Bonjour Rémi ! C’est mon acolyte de notre duo Blue Moon qui a parlé de moi à Maurice lorsque celui-ci cherchait une nouvelle voix. Maurice m’a contacté peu de temps après pour m’expliquer son projet et m’accueillir dans son équipe.

Justement, comment as-tu vécu les premiers moments avec la troupe ?

LH : Je ne connaissais personne en arrivant, mais j’ai tout de suite senti une ambiance conviviale et ouverte. Et puis je me suis immédiatement sentie intégrée et pas mise de côté dans un groupe de personnes qui pourtant se connaissent et jouent ensemble depuis un bout de temps pour la plupart. Au fil des répétitions mon ressenti s’est confirmé et je suis contente d’avoir rejoint ce beau projet et cette troupe !

Parle-nous de ton parcours… d’où vient cette voix exceptionnelle ?
LH : La musique est venue assez tard, j’ai vraiment commencé à chanter vers l’âge de 16 ans. J’ai beaucoup appris en autodidacte et me suis lancée quelques années après dans des études musicales sans aucun bagage. D’abord avec une licence de musicologie, puis en 3ème année, je suis rentrée au conservatoire de Grenoble et en suis ressortie 5 ans plus tard avec mon DEM. Aujourd’hui encore j’apprends à sculpter, travailler et aiguiser ma voix en me basant beaucoup sur le ressenti.
Les Carpentier font parti de notre mémoire collective, même pour celles et ceux qui, comme toi, n’ont pas connu cette époque. Que représentent-ils pour toi ?
LH : Effectivement, je n’ai pas connu cette époque et n’ai donc aucun souvenir, mais à travers ce que j’ai pu en découvrir grâce à ce projet, je vois cela comme une période libre, légère, où la musique était vraiment mise en avant, source de partage et des rendez-vous incontournables. Je ne connais pas autant cette ambiance de nos jours et je trouve cela dommage.
Dans ce spectacle, tu seras à la fois choriste et soliste, deux rôles très différents. Comment appréhendes-tu l’un et l’autre ?
LH : Ce sont en effet des rôles très opposés qui demandent deux attitudes et états d’esprit distincts. Je vois assez cela comme deux spectacles en un. Dans la première partie, l’important pour moi sera de trouver le juste équilibre pour mettre en avant le ou les solistes avec des harmonies solides mais sans prendre le dessus, alors que dans la deuxième partie, j’accorderai une plus grande importance aux textes et aux messages que je voudrai faire passer, ainsi qu’à la façon de les transmettre. Si je devais résumer, je dirais qu’en première partie, je privilégierai le côté mélodique, et en deuxième partie l’interprétation.
Beaucoup de gens te connaissent grâce à Blue Moon Duo, le piano-voix que tu formes avec Guy Fressenon (qui t’a permis de rencontrer Maurice) et qui se produit régulièrement dans la région. Peux-tu nous en dire plus ?
LH : Ce duo est tout simplement une expérience incroyable et fabuleuse ! À l’heure où l’on se parle, il n’a pas encore un an, et nous avons déjà connu tellement de belles occasions et de magnifiques concerts… Lorsque nous l’avons créé avec Guy, nous étions à mille lieux de penser qu’il marcherait aussi bien. En fait, ce qui est dingue, c’est la légèreté et la fluidité avec laquelle tout se passe. Que ce soient les personnes qui nous contactent et nous permettent de partager des moments magiques avec eux, la musique par laquelle on se laisse transporter, l’osmose que l’on a réussi à construire et développer à force de travail… Nous vivons des instants merveilleux, et à chaque fois pour des personnes toutes plus agréables et chaleureuses ! Nous avons une chance inestimable, et ce duo nous inspire et nous nourrit sans cesse de nouvelles idées, de nouveaux projets… On ne s’arrête jamais !
J’ai entendu dire que tu faisais aussi quelques compositions…
LH : J’en ai eu fait effectivement, mais depuis quelques temps, avec les projets qui se multiplient, je n’ai pas eu l’occasion de vraiment m’y remettre. Mais c’est quelque chose que j’aime beaucoup et qu’il me tarde de réintégrer très prochainement dans mon emploi du temps !

Quels sont tes autres projets du moment ?

LH : Alors mes autres projets, j’en ai un en cours de création plutôt orienté funk pop des années 70-80. La formation est classique : un batteur, un bassiste, un guitariste, un clavier et un saxophoniste. Notre objectif est de proposer des formules variées (duo, trio, quartet ou l’ensemble), pour des mariages, des anniversaires, des festivales, etc… Ensuite, j’ai un autre orchestre dans lequel nous sommes une quarantaine et c’est un style très particulier, assez psychédélique qui reprend les textes de Charles Baudelaire. Ce sont toutes des compositions musicales faites par Karim Maurice (mon prof référent au conservatoire), et interprétées notamment par l’Usine à Jazz de Grenoble et des intervenants extérieurs dont je fais partie. Enfin, j’ai un projet malheureusement en suspens en ce moment mais que j’aimerais pouvoir reprendre, c’est le duo de compositions électro-métal avec mon frère dont on parlait tout à l’heure. Par manque de temps, nous nous sommes arrêtés au 2e EP (tous 2 disponibles sur Youtube et les plateformes de streaming), mais nous avons déjà des compos à moitié prêtes pour préparer notre 3e EP. Reste à trouver suffisamment de temps pour travailler dessus, mais c’est un projet qui me tient à cœur car nous avons une excellente osmose avec mon frère (aussi bien musicale que sur les textes ou les idées que l’on partage), et le style me permet de sortir un peu de ce que je fais d’habitude et j’avoue beaucoup m’y plaire dedans.

On approche de la fin de cet entretien… que dirais-tu du spectacle L’Âge d’Or des Carpentier pour convaincre les hésitants à venir nous voir ?
LH : Ce spectacle est une bombe de souvenirs, de bonne humeur, de musicalité, aussi bien pour les oreilles que pour les yeux. Et comme tu disais tout à l’heure, quelle que soit notre génération, d’une certaine manière on peut tous se retrouver dedans, que l’on ait connu cette époque ou non. Ce spectacle n’est pas juste une représentation. Ce sont des musiciens, des artistes, des personnes qui ont cette envie d’offrir au public et de partager avec lui un moment suspendu…

Merci Laëtitia pour ton temps et ta gentillesse… Rendez-vous les 14 et 15 octobre sur la scène de Baptiste Dufeu, à Péage de Roussillon !

L’Âge d’Or des Carpentier

By L'Âge d'Or des Carpentier

Maurice Buaz est heureux de vous présenter L’Âge d’Or des Carpentier, un nouveau show haut en couleur ! 10 chanteurs, 25 musiciens, 15 danseurs et comédiens, vous feront revivre les émissions de Maritie et Gilbert Carpentier au travers des plus grands succès de Johnny, Claude François, Eddy Mitchell, Sheila, France Gall, Michel Berger, et bien d’autres encore…

Nous vous présentons celles et ceux qui les interpréteront !

Véronique Larose

Soliste & choriste

Soliste et choriste, Véronique a été Professeure d'Education Musicale en Collège. Elle est maintenant Cheffe de chœurs. Elle dirige, mais organise aussi de nombreux stages ou formations à l'intention de ses choristes. Passionnée par la voix et le chant, elle travaille avec Maurice Buaz depuis 2010.
Dans "L'Âge d'Or des Carpentier", elle chante notamment Françoise Hardy, Nana Mouskouri, ou encore Dalida.

Olivier Debauge

Soliste

Recruté par Maurice Buaz pour le spectacle "Signé Sardou" où il interprète le rôle titre en 2018, il en laissera un souvenir impérissable. Depuis, il chante Sardou sur de nombreuses scènes de la Région Stéphanoise. Par conséquence, Maurice Buaz lui a naturellement confié le rôle de Sardou mais aussi celui de Joe Dassin, ou encore Sacha Distel dans "L'Âge d'Or des Carpentier".

Eric Chatelon

Trompettiste & soliste

Trompettiste, bassiste, guitariste, chanteur, Eric est un "touche à tout" de génie. Venant de l'orchestre de variétés de René Catinon, il a été aussi Régisseur Général à l'Opéra de St Etienne. Essentiellement trompettiste à MUSICA, il chante ici Carlos à la perfection.

Sophie Garcia

Soliste

Sophie chante avec Maurice Buaz depuis "Quelques mots d'amour" en 2007, inoubliable Sadia dans "Starmania". Elle a depuis participé notamment aux émissions de Nagui sur France 2, et est arrivée au 2e tour du casting du nouveau "Starmania" pour le rôle de Cristal.
Sophie aime les challenges : elle n'hésite pas à chanter Claude François ou encore Michel Polnareff, aux côtés de France Gall ou Sylvie Vartan...

Didier Rieux

Soliste

Recruté lui aussi en 2007 pour "Quelques mots d'amour" où il interprète notamment le rôle de Johnny Rockfort et son célébrissime "SOS d'un terrien en détresse" qui a fait le tour du monde, Didier a depuis fait son chemin. Après "Crooners" et Frank Sinatra en 2014, il en est à son 4e album vu et entendu par 100 000 personnes sur les réseaux sociaux. Il a eu la gentillesse d'interpréter Johnny à "LÂge d'Or des Carpentier", mais aussi Dassin ou encore Dutronc...

Magali Dubois

Choriste

Magali a toujours été choriste à MUSICA, et ce depuis 2009. Mais elle aime aussi, à l'occasion, chanter quelques solos quand le spectacle le demande.

Laëtitia Hulewicz

Soliste & choriste

Soliste et choriste, Laëtitia est Intermittente du spectacle. Après de solides études musicales au CRR de Grenoble, elle rejoint MUSICA pour "L'Âge d'Or des Carpentier", mais chante aussi dans diverses formations dont le duo "Blue Moon" qu'elle forme avec l'accordéoniste / pianiste Guy Fressenon.
Son répertoire est large et varié : Nicole Croisille, Michel Fugain, ou encore Agnetha du très célèbre groupe ABBA.

Antoine Angelloz-Nicoud

Soliste

Intermittent du spectacle, Antoine a lui aussi un DEM de Formation Musicale et Chant du CRR de Grenoble. Chanteur lead dans plusieurs groupes de la région Auvergne-Rhône-Alpes, il vient rejoindre MUSICA pour interpréter notamment Mike Brant, Eddy Mitchell, Julien Clerc, ou encore Johnny...

Laurène Andrieu

Choriste

C'est la dernière arrivée dans la troupe, elle sera choriste à "L'Âge d'Or des Carpentier". Mais Laurène a de multiples talents : chanteuse, actrice, danseuse, elle peut jouer Molière, ou bien le "Messie" de Haendel à l'Opéra de Lyon.

Nul doute que cette brochette des plus belles voix de la Région saura divertir ou encore émouvoir au sein de L’Âge d’Or des Carpentier, spectacle imaginé par Maurice Buaz et MUSICA, qui se veut être également une comédie musicale aux multiples facettes, en même temps qu’un hommage rendu au célèbre couple de producteurs de la télévision française des années 70-80. On y joue, on y chante, on y danse, tous les ingrédients nécessaires afin de passer un agréable moment !

Maurice Buaz s’entoure de 2 nouveaux chanteurs !

By L'Âge d'Or des Carpentier

Pour les besoins de son nouveau spectacle l’Âge d’Or des Carpentier, Maurice Buaz a recruté 2 nouveaux chanteurs professionnels.

Laëtitia Hulewicz, la grenobloise, et Antoine Angelloz-Nicoud, des Aravis, viennent ainsi compléter l’effectif parmi les chevronnés Sophie Garcia, Véronique Larose, Magali Dubois, Didier Rieux et Olivier Debauge, le dernier Michel Sardou…
Ils interpréteront les plus grands succès de Joe Dassin, Carlos, Claude François, Johnny, Eddy Mitchell, Sheila, Nana Mouskouri, ou encore Aznavour, Fugain et bien d’autres !
Nul doute qu’avec ce casting, le show sera à la hauteur des précédents, avec une mise en scène qui saura rappeler les bons moments des années 70/80, les années dorées des spectacles de variété à la télévision française…

Laetitia Hulewicz

Chanteuse soliste - Choriste

Après avoir validé une licence en musicologie et obtenu son diplôme en Musiques Actuelles au conservatoire de Grenoble, Laëtitia est une jeune chanteuse qui a très vite aimé évoluer dans tous les styles, aussi bien rock que jazz, en passant par la variété française et internationale. Capable de s’adapter rapidement à son environnement et aux genres, elle a su intégrer de nombreux projets éphémères ou durables. Elle compose également pour elle-même mais aussi pour son duo d’électro-métal.

Antoine Angelloz-Nicoud

Chanteur soliste

Bien qu’il chante depuis tout petit, ce n’est qu’après s’être passionné pour la guitare qu'Antoine se découvre une voix. Il sort du CRR de Grenoble en 2021 avec un DEM de chant de la section musiques actuelles et devient acteur de plusieurs projets en tant que musicien et chanteur.
Il chante dans le tribute Queen "Another Kind of Magic" (spectacle entièrement a cappella) depuis 2020.
Il arrange également pour son projet SMASH ! ainsi que pour différents artistes : Casimir, Midi 51...
Antoine est également technicien pour le spectacle vivant sur la région Rhône-Alpes et professeur de chant et de guitare.

Maurice Buaz raconte son « Âge d’Or des Carpentier »

By Interviews, L'Âge d'Or des Carpentier

Entre l’arrangement des titres du spectacle, la première répétition et les réunions de mise en scène qu’il enchaîne depuis quelque temps, l’artiste se confie sur sa nouvelle création : L‘Âge d’Or des Carpentier. A lire et partager sans modération.

C’est une habitude maintenant, pour chaque nouveau spectacle, nous nous retrouvons pour en parler. Cette fois, c’est pour les Carpentier… Qu’est-ce que ce nom évoque chez toi ?

MB : Les Carpentier… il faut remonter loin dans mes souvenirs, puisqu’on parle d’évènements qui ont eu lieu voilà une cinquantaine d’années ! Avec «Intervilles» et les vachettes de Guy Lux, c’est sans doute l’émission qui m’a permis d’aimer la télé à une époque où chacun n’avait pas encore un poste de télévision à la maison. On se retrouvait entre voisins à regarder l’émission attendue toute une semaine ! C’est une époque où la télé pouvait encore créer du lien culturel et social, ce qui n’est évidemment plus le cas maintenant pour la grande majorité des émissions… pour ne pas dire toutes !

D’autre part, les Carpentier (avec les Beatles) ont contribué eux aussi, à me décider pour une carrière d’artiste. Comme je te l’ai dit,  j’attendais, avec l’impatience du jeune homme que j’étais, cette émission du samedi soir, fasciné par la kyrielle de stars qui venaient chanter, se marrer entre elles, sans se prendre la tête, sans le souci de l’audit et des parts de marché… Autant dire qu’actuellement, cette émission dans son concept ne pourrait tout simplement plus avoir lieu. Et je ne remercierai jamais assez ce couple de producteurs qui travaillaient comme des fous toute une semaine pour l’émission du samedi et qui avaient le pouvoir de rassembler sur un même plateau : Johnny, Sylvie, Sardou, Dassin, Carlos, ou encore Aznavour, Sacha, Mitchell ou Gainsbourg..! Et j’étais désolé quand, pour une raison ou pour une autre (j’étais déjà musicien de bal à l’époque, et nous n’avions pas la possibilité alors de regarder en replay !), je ne pouvais assister à la diffusion.

C’est donc tout naturellement que tu as choisi d’en faire ton prochain spectacle ?

MB : En fait, ma réponse à cette question est presque contenue dans la première… Tu as pu te rendre compte que les spectacles que j’ai montés jusqu’ici ont tous un lien étroit avec ce que j’ai pu vivre dans un passé plus ou moins lointain. Hormis le Sardou de 88 qui a été le premier, dû à un hasard total et le fruit d’une collaboration étroite avec Daniel Sassolas, mon professeur de guitare d’alors, et feu l’Ecole de St Maurice l’Exil, tous les autres ont une raison bien particulière mais on en a déjà parlé, je ne reviendrai pas dessus.

Les « Numéro 1» ou les « Top à » des Carpentier reprenaient de façon humoristique ce que j’avais déjà entendu dans « Salut les copains » de Daniel Filipacchi, cette émission sur Europe n°1 au début des années 60, que j’écoutais tous les soirs l’oreille collée à mon transistor pendant que je faisais mes devoirs..! (A ne pas divulguer auprès de toutes les oreilles !) C’est donc à cette sacrée nostalgie du temps passé, mêlée à l’envie de rendre hommage à tous ces artistes qui s’en sont allés les uns après les autres, que je dois ce nouveau spectacle L’Âge d’Or des Carpentier… car c’est sûr, personne ne pourra contester ce fait, cette époque a été un âge d’or et tu ne peux pas savoir le bonheur que j’ai de l’avoir connue !

Sans tout dévoiler du spectacle, que peux-tu nous dire de ton Âge d’Or des Carpentier ?

MB : Je n’ai pas pour habitude de faire les choses à moitié ! Pour L’Âge d’Or, je voulais juste recréer en direct, comme ils le faisaient déjà à l’époque, l’ambiance d’un plateau télé avec décors, costumes, danses, sketchs d’avant chansons ou pour présenter les vedettes, lumières, vidéos… avec des avantages et des inconvénients.

L’inconvénient, c’est de tout montrer en direct. Pour certains tableaux, c’est un handicap de taille qu’il a fallu résoudre dans la mise en scène, notamment pour coller avec le texte de certains titres, ou pour avoir le temps matériel de préparer les chanteurs et chanteuses au sketch suivant dans un nouveau décor, dans un nouveau costume, sans pouvoir rien couper au montage !

L’avantage est de pouvoir travailler avec les matériels d’une technologie nouvelle, que les Carpentier ne possédaient pas. En ce qui concerne les lumières, j’ai longuement hésité entre le fait de rester dans de l’éclairage de l’époque, et celui d’utiliser les robots de maintenant. Je me suis décidé quand même pour la seconde solution, ce qui permettra aux spectateurs de bénéficier de la pointe technologique à des endroits bien précis du spectacle. Pour la vidéo et les images, elles seront bien sûr le reflet du monde du passé, avec quelques surprises dues là encore aux progrès de la technologie.

On peut parler de véritable comédie musicale dédiée aux Carpentier.

La première représentation aura lieu en octobre 2023. Que va-t-il se passer d’ici là ?

MB : D’ici là, les choses sont simples ! On est en train de trouver l’ensemble des décors et costumes, ici, tout n’est pas définitif, mais les choses ont bien avancé depuis cet été. Et la première répétition d’octobre dernier a permis de mettre au point certains détails restés dans l’ombre jusque-là. Maintenant, il reste le plus difficile : mettre la musique en place, répéter la mise en scène avec les chanteurs, chanteuses, comédiens, figurants et danseurs puisqu’on peut parler de véritable comédie musicale dédiée aux Carpentier, comprenant  plus de cinquante artistes…

Autre difficulté : adapter la mise en scène à tous types d’endroits. Certes, on ne pourra pas passer dans les petites salles car il nous faut 150 m2 de plateau, plus l’orchestre en fosse : ça suppose une infrastructure de taille !

Un travail de longue haleine commence, avec metteur en scène, chorégraphe, costumière, et toutes les personnes de l’ombre, ô combien précieuses, sans qui rien ne serait possible…

Rendez-vous dès à présent sur https://mauricebuaz.com/billetterie/

Casting l’Âge d’Or des Carpentier !

By L'Âge d'Or des Carpentier

Maurice Buaz recrute un chanteur homme pour son prochain spectacle « L’Âge d’Or des Carpentier », spectacle en hommage à Maritie et Gilbert Carpentier, le célèbre couple qui produisit des émissions de variétés dans les années 70/80.

Au programme, les grands succès de Claude François, Johnny, Sylvie, Sheila… ou autres Eddy Mitchell, Joe Dassin, Carlos, Serge Lama…

L’orchestre est constitué d’une rythmique (basse, batterie, guitare, piano, synthétiseurs), d’un quatuor à cordes, d’une section comprenant saxophones, trompettes, trombones, et 4 choristes.

Un casting en vue du recrutement aura lieu Samedi 10 Septembre 2022 à la salle Baptiste Dufeu, 121 Rue de la République à PEAGE DE ROUSSILLON à partir de 14h30.

Inscrivez-vous en envoyant un mail à contact@mauricebuaz.com

Munissez-vous d’une clé USB avec le playback de 2 chansons choisies parmi le répertoire de Charles Aznavour, Michel Berger, Mike Brant, Carlos, Julien Clerc, Joe Dassin, Sacha Distel, Claude François, Michel Fugain, Johnny Hallyday, Serge Lama, Gérard Lenorman, Eddy Mitchell, Michel Polnareff ou Michel Sardou. 

 

Communiqué du 8 Avril 2021

By Signé Sardou

Chers amis,

Comme vous pouviez vous en douter, en raison de la pandémie, Signé Sardou ne pourra pas être donné le 22 Mai prochain au Manège à Vienne. Nous en sommes navrés pour vous, pour les artistes, pour les techniciens, pour l’ensemble de la profession. Nous attendons encore un peu afin de trouver une nouvelle date, sans doute à l’automne prochain. Evidemment, elle sera fonction de la situation sanitaire du moment, en souhaitant que les mesures prises à l’encontre de la « Covid 19 » soient suffisamment efficaces pour que nous puissions enfin redonner un spectacle dans les conditions qui étaient les nôtres il y a plus d’un an maintenant…

Restez en contact afin de réserver vos places dès que possible ! Bel été à tous, soyez vigilants et restez en bonne santé !

Bien à vous !

Pour Singali,

 

Maurice Buaz

3 questions à Maurice Buaz

By Interviews

Dans le contexte que nous connaissons, difficile pour beaucoup et particulièrement pour le monde du spectacle, nous avons posé 3 questions à Maurice Buaz. Son ressenti sur la situation, ses projets… C’est à lire maintenant !

Tu nous avais donné rendez-vous en Novembre dernier au Manège à Vienne. Malheureusement, dans le contexte que nous connaissons, le spectacle a dû être reporté. Quel est ton sentiment par rapport à tout ce que nous vivons ?

MB : En novembre, compte-tenu du contexte sanitaire dans lequel nous nous trouvions, et dans lequel nous nous trouvons toujours, j’ai personnellement tout tenté pour donner, envers et contre tout, Signé Sardou au Manège à Vienne, au risque de provoquer quelques tensions au sein même de l’association… J’en profite ici pour remercier à nouveau celles et ceux qui m’ont aidé dans ma démarche et qui n’ont pas hésité à prendre aussi certains risques ! Les raisons qui ont dicté ma conduite sont simples : notre profession est touchée de plein fouet par la pandémie et vit une période particulièrement troublée, pénible et totalement inédite. Les décisions qui ont été prises au plus haut niveau me semblent cependant injustifiées : sincèrement, je ne pense pas que venir écouter Signé Sardou au Manège à Vienne dans le strict respect du protocole sanitaire soit plus dangereux qu’aller faire ses courses au supermarché du coin… Mais bon… nous aurons beaucoup travaillé, perdu un peu d’argent pour la communication, mais ce n’est pas grave. Nous avons pu faire une répétition générale au mois d’Octobre, à la salle Aragon à Saint Maurice, salle qui a connu la première édition de Signé Sardou en 88, avec le retour de certains musiciens qui étaient déjà là à cette époque… et avec aussi de nouvelles têtes… par conséquent, une répétition remplie d’émotion et de musique :  c’est ça le spectacle !

Est-ce que cette période est malgré tout propice à l’écriture, à la création ?

MB : Par le fait, oui ! Puisque le confinement, le couvre-feu nous interdisent les répétions et les concerts, puisqu’ils nous suppriment toute vie sociale et culturelle, il ne reste donc plus que l’ordinateur ! A quelque chose malheur est bon, puisqu’ils m’ont permis de finir (ou presque) l’écriture du spectacle Carpentier, qui sera le prochain show de Singali !

Et puis, à dire vrai, le contexte émotionnel dans lequel nous sommes plongés, m’invite à l’écriture… je n’ai jamais travaillé aussi vite !

Le contexte émotionnel dans lequel nous sommes plongés, m'invite à l'écriture...

Je vous donne rendez-vous le 22 Mai prochain, à Vienne, pour Signé Sardou.

Quels sont nos prochains rendez-vous ?

MB : Je peux vous l’annoncer aujourd’hui : je vous donne tous rendez-vous le 22 Mai prochain (et peut-être même le 23 !) au Manège à Vienne pour Signé Sardou. Je suis remonté à bloc, les musiciens aussi, quitte à repousser encore une fois… allez savoir ! Je vous invite à suivre les news que nous publierons sur ce site et sur Facebook dans les prochaines semaines pour avoir des infos sur les modalités, la billetterie…

Et puis bien sûr, il y aura le spectacle Carpentier sur lequel je travaille beaucoup en ce moment… J’espère pouvoir vous présenter ce nouveau show fin 2021 – 2022. Vous l’aurez compris, ce sera un hommage à Maritie et Gilbert Carpentier, le célèbre couple qui anima pendant des années les samedis soirs de la télévision française à l’époque où cette dernière savait encore faire de vrais spectacles de variété. Le spectacle sera copieux, mêlant musique, sketchs et danse ! Alors d’ici là, une fois que j’aurai fini l’écriture de la musique, il faudra préparer, organiser et répéter ! On a du pain sur la planche !

Merci Maurice pour tes réponses ! A suivre dans nos prochaines publications, toutes les informations concernant Signé Sardou, samedi 22 Mai 2021 – Le Manège, 30 Avenue Général Leclerc, 38200 Vienne.

Sardou après Sardou, l’histoire d’un spectacle d’hier et d’aujourd’hui

By Signé Sardou

L’histoire de Signé Sardou commence en 1986. Maurice Buaz est alors Directeur de l’Ecole de Musique de Saint Maurice l’Exil. Depuis quelques années déjà, il donne en fin d’année scolaire un opéra ou un conte musical pour enfants permettant ainsi la participation de tous les élèves de l’Ecole. Mais, cette année-là, il a l’idée d’arranger tout un spectacle consacré à Michel Sardou, alors au sommet de sa gloire. C’est ainsi qu’est né Signé Sardou, un spectacle faisant appel à l’ensemble des instruments enseignés à l’Ecole, mais aussi à l’outil informatique et aux instruments de synthèse qui en sont à leurs balbutiements. Il fait aussi appel au monde du show biz – chanteurs, choristes, techniciens professionnels – les élèves et les professeurs sont imprégnés soudain de la musique de variété. Un an de préparation et de répétitions sont nécessaires, mais à l’époque l’effet de surprise est colossal. Le spectacle sera donné 15 fois entre 1988 et 1989, devant plus de 20 000 personnes.

Le temps a passé, Maurice Buaz a quitté Saint Maurice l’Exil, il a monté d’autres spectacles, fait de nouvelles rencontres. Il donne notamment Quelques mots d’amour, Yesterday, et Crooners, au Théâtre antique de Vienne où il y a pris ses habitudes.

Nous sommes maintenant en 2017 et il décide de redonner Signé Sardou au moment où la star arrête sa carrière de chanteur. En 30 ans, les choses ont changé, les enfants ont grandi, quitté l’Ecole et la musique, mais certains musiciens sont restés, les amis, les vrais, ceux sur qui on peut compter, ceux avec qui on peut construire des projets. L’association Singali qui produit le spectacle a été créée, le groupe s’est professionnalisé, les musiciens viennent de toute la Région, de l’agglomération Roussillonnaise, bien sûr, mais aussi de Vienne, St Etienne, Valence… Le groupe d’amis s’est constitué au fil des années, les Viennois sont restés eux aussi et seront présents dans Signé Sardou version 2.

Stéphane Vettraino

L'ami de toujours

Stéphane Vettraino, l’ami de toujours que Maurice Buaz a rencontré au Conservatoire de Givors à l’occasion de l’enregistrement d’un album sur les groupes rock de la ville (Factory notamment, avec Yves Matrat et « Puce »…). Pianiste de jazz, directeur d’Ecole de musique, compositeur, il est bien connu des Viennois par ses chevauchées fantastiques au piano sur des films muets lors de Ciné-Concerts organisés par Jazz à Vienne. Stéphane a gentiment accepté de jouer l’un des stands synthé.

Valérie Lavigne-Delhomme

Professeure de violoncelle

Valérie Lavigne-Delhomme est professeure de violoncelle dans les Conservatoires alentours, c’est la petite dernière qui a rejoint le groupe lorsque Maurice Buaz a intégré le quatuor à cordes dans le spectacle. Elle appartient aussi au Quatuor Kynesis basé à Estrablin.

Sophie Garcia

Chanteuse soliste

Sophie Garcia, l’une des chanteuses solistes (le spectacle fait appel aussi à la voix féminine), est là depuis 2008, depuis l’hommage à Michel Berger. Inoubliable Sadia de Starmania, Sophie chante dans divers groupes et ensembles, elle a des projets plein la tête, c’est une valeur sûre de l’orchestre, et son talent n’a d’égal que sa gentillesse.

Signé Sardou version 2, c’est un savant mélange entre les tubes de la star (Les lacs du Connemara, La Java de Broadway, La maladie d’amour, Le France…) et les titres moins connus (La pluie de Jules César, La vieille, Les bateaux du courrier…). Ces derniers laissent par ailleurs une large place à l’expression d’un orchestre semi symphonique puisque Signé Sardou rassemble 30 musiciens et chanteurs, pour la plupart professionnels : rythmique, section de cuivres, quatuor à cordes, choristes et solistes.

C’est fort du franc succès obtenu à la salle Baptiste Dufeu en Juin 2018 que Signé Sardou revient, cette fois à la nouvelle salle du Manège à Vienne les 14 et 15 Novembre prochains.

Un nouveau Sardou

Signé Sardou revient, oui, mais dans une version 2.1 ! A Péage, c’est Nicolas Reyno qui avait la tâche de chanter Sardou, tâche dont il s’acquitta magnifiquement. Mais Nicolas étant pris par ses propres spectacles, c’est Olivier Debauge, habitant la région de Saint Etienne qui tient désormais le rôle. Du casting organisé en Mars dernier, c’est lui qui fut le Sardou le plus brillant parmi la vingtaine de candidats présents (A lire : Rencontre avec Olivier Debauge).

Et puis…, certes, Maurice Buaz est toujours en préparation d’un nouveau show, cette fois-ci ce sera un hommage à Maritie et Gilbert Carpentier, le célèbre couple qui anima pendant des années les samedis soirs de la télévision française à l’époque où cette dernière savait encore faire de vrais spectacles de variété. Mais comme on le dit souvent, on revient toujours à ses premières amours : est-ce pour fustiger le temps qui passe ? (Sardou dirait « Putain de temps »…), est-ce pour entendre encore une fois la cornemuse des lacs ?, est-ce un prétexte pour retrouver les amis derrière un synthé ou une batterie ? Toujours est-il qu’il y a une vraie « maladie d’amour » entre Sardou et celui qui l’a poursuivi une grande partie de sa carrière. Signé Sardou est aussi et surtout un clin d’œil aux musiques de Jacques Revaux, puisque tous les titres du spectacle ont été écrits de la main du célèbre arrangeur.

Signé Sardou, samedi 14 Novembre à 16h00 et dimanche 15 Novembre à 16h00 – Le Manège, 30 Avenue Général Leclerc, 38200 Vienne.